Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
Qui êtes-vous ?
- Camille de Blainville
- Je suis, ca peut être évident. Ou pas... En fait, on ne sait jamais trop qui l'on est. C'est l'être qui est important. Oui en ce sens je suis. Je suis parce que je suis capable de penser que je suis. Mince après tout, je suis. Mais de là à savoir qui? Je suis celui qui écrit ces mots, et qui en écrit d'autres. Celui qui entend, voit, doute, rêve, baise, crache, hurle, jouit, et meurt. J'irai mourir, comme vous comme moi. Tous, puissants, pauvres, cancéreux, heureux. Tous. Alors à peine le temps de se demander "qui suis-je". A peine le temps de vivre celui qu'on est. Etre, simple. Mourir en ayant été. En étant sa mort aussi. Juste être, pas un "qui", pas une question, juste un acte, une responsabilité.
5 commentaires:
je trouve ça lamentable que tu éprouves le besoin d'exhiber ton amour a ce point
tu es heureux on l'est tous pour toi mais de là a nous montrer les dessous de ta dulcinée ...
J'essayais juste de faire une belle photo. Et je constate avec désarroi que tu exprimes bien facilement ton désaccord avec ma conception de la photo, que ton éventuel plaisir à parcourir les autres photos de ce blog.
Tant pis. Mais merci quand même "anonyme".
j'aime la plupart de tes clichés, je trouve simplement que celui ci n'a rien a faire dans un tel blog parsemé de visages d'enfants et de rêves...
même celui d'en dessous avec la cigarette roulée me plait
celui ci vraiment était facultatif a ton bel album.
simple avis d'une jeune fille amatrice de ton monde :)
Alors d'accord. Seulement je m'attache à photographier mon monde. Et a l'image d'un ensemble, il se compose des bas de la femme que j'aime autant que du regard malicieux de louka, ou des cigarettes affriolante qui se roule çà et là. Ceci-dis les enfants ne naissent pas dans les choux et le cancer du poumon ne s'attrape pas en courant le 100 mètres. L'eros et le tanathos. Sans hypocrisie. :)
Hum...Les Sainte-Beuvistes sévissent encore...
Déçue d'une telle constatation.
Je vois ça plutôt comme une perspective, le fantasme de soulever les jupes des filles...
Morceau sociétaire aussi, quand les trois pilliers de celle-ci sont l'argent, le pouvoir et le sexe.
On est jeune et pauvre, que reste-t-il les gens?
Enfin, les enfants sont de gros pervers, c'est bien connu: ça veut coucher avec son père, tuer sa mère, c'est loin d'être innocent.
Sur ces quelques mots...je tiens à préciser qu'elle ne portait sans doute pas de culotte :-D
Enregistrer un commentaire