
lundi 4 juin 2007
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Les photos qui sont issues du voyage quotidien. Empreint de la violence de la vue, de la vie. Empreintes d'instants qu'on oublie de laisser compter. Empreintées aux modèles qui passent, qui dorment, là-bas et ici, dans le lointain. Accolytes agonisant, tout comme vous, tout comme moi; ils nous regardent, me regardent. Ou plutôt dévisage. Ces visages qui voient; les regarder.
2 commentaires:
" Ich hab's ins Dunkel gesehen
Ich habe Wunden gesehen
Ich habe Stimmen gehört... "
La lumière qui transperçe le jour,
à peine dissimulé de ta voix.
L'anonymat qui meurt dans le goût
Des mots; le long de ces soleils
Qui, marches après marche, révèlent
Qui s'est caché. Derrière les vers.
Mers de mots.
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