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Le Panard Sisyphe

Les photos qui sont issues du voyage quotidien. Empreint de la violence de la vue, de la vie. Empreintes d'instants qu'on oublie de laisser compter. Empreintées aux modèles qui passent, qui dorment, là-bas et ici, dans le lointain. Accolytes agonisant, tout comme vous, tout comme moi; ils nous regardent, me regardent. Ou plutôt dévisage. Ces visages qui voient; les regarder.

mercredi 9 avril 2008

Le dormeur du val.

Publié par Camille de Blainville à 21:08 Aucun commentaire:

Petits Hommes.

Publié par Camille de Blainville à 21:08 1 commentaire:

Cyclope.

Publié par Camille de Blainville à 21:07 Aucun commentaire:

Babel.

Publié par Camille de Blainville à 21:07 Aucun commentaire:

Eros.



Publié par Camille de Blainville à 21:06 1 commentaire:

lundi 7 avril 2008

U.S Open.

Publié par Camille de Blainville à 19:17 Aucun commentaire:

Steinway.

Publié par Camille de Blainville à 19:17 Aucun commentaire:

Into my Wild.

Publié par Camille de Blainville à 19:16 Aucun commentaire:

Pingouin.

Publié par Camille de Blainville à 19:15 Aucun commentaire:

Mystique.

Publié par Camille de Blainville à 19:14 Aucun commentaire:

Fée Clochette.

Publié par Camille de Blainville à 19:14 Aucun commentaire:

La colonie pénitenciaire.

Publié par Camille de Blainville à 19:13 Aucun commentaire:

dimanche 6 avril 2008

Would you know how to fight?

Publié par Camille de Blainville à 13:54 Aucun commentaire:

Calotte.

Publié par Camille de Blainville à 13:51 5 commentaires:

Insération.

Publié par Camille de Blainville à 13:50 Aucun commentaire:

Qui-vive.

Publié par Camille de Blainville à 13:50 Aucun commentaire:

Gentleman.

Publié par Camille de Blainville à 13:49 Aucun commentaire:

Coeurisme.

Publié par Camille de Blainville à 13:48 Aucun commentaire:

Sirènes

Publié par Camille de Blainville à 13:45 Aucun commentaire:
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Qui êtes-vous ?

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Camille de Blainville
Je suis, ca peut être évident. Ou pas... En fait, on ne sait jamais trop qui l'on est. C'est l'être qui est important. Oui en ce sens je suis. Je suis parce que je suis capable de penser que je suis. Mince après tout, je suis. Mais de là à savoir qui? Je suis celui qui écrit ces mots, et qui en écrit d'autres. Celui qui entend, voit, doute, rêve, baise, crache, hurle, jouit, et meurt. J'irai mourir, comme vous comme moi. Tous, puissants, pauvres, cancéreux, heureux. Tous. Alors à peine le temps de se demander "qui suis-je". A peine le temps de vivre celui qu'on est. Etre, simple. Mourir en ayant été. En étant sa mort aussi. Juste être, pas un "qui", pas une question, juste un acte, une responsabilité.
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