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Le Panard Sisyphe

Les photos qui sont issues du voyage quotidien. Empreint de la violence de la vue, de la vie. Empreintes d'instants qu'on oublie de laisser compter. Empreintées aux modèles qui passent, qui dorment, là-bas et ici, dans le lointain. Accolytes agonisant, tout comme vous, tout comme moi; ils nous regardent, me regardent. Ou plutôt dévisage. Ces visages qui voient; les regarder.

mardi 31 juillet 2007

Charbon.

Publié par Camille de Blainville à 11:46 Aucun commentaire:

Solaire.

Publié par Camille de Blainville à 11:46 Aucun commentaire:

Mont.

Publié par Camille de Blainville à 11:45 Aucun commentaire:

samedi 28 juillet 2007

Pharaon.

Publié par Camille de Blainville à 12:36 1 commentaire:

Joe.

Publié par Camille de Blainville à 12:35 Aucun commentaire:

lundi 23 juillet 2007

Démuni.

Publié par Camille de Blainville à 10:41 Aucun commentaire:

Croupière.

Publié par Camille de Blainville à 10:41 Aucun commentaire:

Diaphragme.

Publié par Camille de Blainville à 10:40 1 commentaire:

Eluard.

Publié par Camille de Blainville à 10:40 1 commentaire:

vendredi 20 juillet 2007

Motoire.

Publié par Camille de Blainville à 19:02 Aucun commentaire:

Soldat.

Publié par Camille de Blainville à 19:01 Aucun commentaire:

Fêlure.

Publié par Camille de Blainville à 19:01 Aucun commentaire:

jeudi 19 juillet 2007

Jules.

Publié par Camille de Blainville à 20:21 Aucun commentaire:

Breton.

Publié par Camille de Blainville à 20:18 1 commentaire:

vendredi 13 juillet 2007

Marin.

Publié par Camille de Blainville à 20:26 Aucun commentaire:

Sartre.

Publié par Camille de Blainville à 20:25 Aucun commentaire:

Charité.

Publié par Camille de Blainville à 20:25 Aucun commentaire:

Is There A God In Your Pocket?

Publié par Camille de Blainville à 20:24 Aucun commentaire:

Two Bass Hit.

Publié par Camille de Blainville à 20:24 Aucun commentaire:

Fers.

Publié par Camille de Blainville à 20:23 Aucun commentaire:

jeudi 12 juillet 2007

Dormez si vous pouvez...

Publié par Camille de Blainville à 19:39 Aucun commentaire:

Robert.

Publié par Camille de Blainville à 09:07 Aucun commentaire:

NDE.

Publié par Camille de Blainville à 09:02 Aucun commentaire:

Succulent.

Publié par Camille de Blainville à 08:59 Aucun commentaire:

Chambre sur Cours.

Publié par Camille de Blainville à 08:57 Aucun commentaire:

Coiffé.

Publié par Camille de Blainville à 08:55 Aucun commentaire:

Kafka.

Publié par Camille de Blainville à 08:52 Aucun commentaire:

Boisé.

Publié par Camille de Blainville à 08:48 Aucun commentaire:

Valseuses.

Publié par Camille de Blainville à 08:46 Aucun commentaire:

Franchise.

Publié par Camille de Blainville à 08:44 Aucun commentaire:

Plancher.

Publié par Camille de Blainville à 08:42 Aucun commentaire:

mardi 10 juillet 2007

Elle.

Publié par Camille de Blainville à 17:56 Aucun commentaire:

Triplettes.

Publié par Camille de Blainville à 17:55 Aucun commentaire:

Branché.

Publié par Camille de Blainville à 17:55 Aucun commentaire:

Poule.

Publié par Camille de Blainville à 17:54 Aucun commentaire:

Cérébré.

Publié par Camille de Blainville à 17:53 Aucun commentaire:

Ecoute.

Publié par Camille de Blainville à 17:53 Aucun commentaire:

Lendemain.

Publié par Camille de Blainville à 17:50 Aucun commentaire:

dimanche 8 juillet 2007

Volée.

Publié par Camille de Blainville à 09:57 Aucun commentaire:

Coque.

Publié par Camille de Blainville à 09:56 Aucun commentaire:

Hello I'm...

Publié par Camille de Blainville à 09:55 Aucun commentaire:
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Camille de Blainville
Je suis, ca peut être évident. Ou pas... En fait, on ne sait jamais trop qui l'on est. C'est l'être qui est important. Oui en ce sens je suis. Je suis parce que je suis capable de penser que je suis. Mince après tout, je suis. Mais de là à savoir qui? Je suis celui qui écrit ces mots, et qui en écrit d'autres. Celui qui entend, voit, doute, rêve, baise, crache, hurle, jouit, et meurt. J'irai mourir, comme vous comme moi. Tous, puissants, pauvres, cancéreux, heureux. Tous. Alors à peine le temps de se demander "qui suis-je". A peine le temps de vivre celui qu'on est. Etre, simple. Mourir en ayant été. En étant sa mort aussi. Juste être, pas un "qui", pas une question, juste un acte, une responsabilité.
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